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Le père de famille a retrouvé un impact de balle juste au-dessus du lit de sa fille, âgée de 3 ans. La famille se dit traumatisée.

Source BFMTV

Un accident de chasse survenu jeudi à Renage (Isère) aurait pu coûter la vie à une fillette, signale Le Dauphiné libéré. Un père de famille a retrouvé une balle perdue, vraisemblablement tirée par un chasseur, au-dessus du lit de sa fille de 3 ans.
L’homme se trouvait à son domicile, voisin d’une forêt, jeudi après-midi, tandis que sa fille faisait la sieste dans son lit. C’est à ce moment qu’il aurait entendu une détonation. « Ce n’est que samedi, en faisant le ménage dans sa chambre que j’ai remarqué un trou de la taille d’un pouce dans le mur, à 50 centimètres au-dessus de son lit et la poutre déchiquetée », raconte-t-il au quotidien régional.
La famille se dit traumatisée par cette découverte.
« Quand on voit les dégâts sur le mur, le parquet, on n’imagine pas ce qui aurait pu arriver. »
Les chasseurs, « choqués », assument leur responsabilité
Les chasseurs de la région se disent également « très choqués » mais « ils ne veulent pas se défausser », précise le père de la fillette. « Ils ont confirmé et ont dit qu’ils assumeraient leurs responsabilités. »
Contacté par téléphone par le quotidien régionnal, le président de l’Association communale de chasse agréée (ACCA) a déclaré que « les règles de tir avaient été respectées ».
    « La seule explication que l’on voit est que la balle a dû faire un ou plusieurs ricochets avant de toucher cette maison », explique-t-il encore.
Le père de famille conclut en disant qu’il faut que « les choses changent en matière de chasse ». « On ne peut pas faire de la chasse au gros gibier avec des balles qui peuvent parcourir 2.500 m, si près des habitations. »
Claire Rodineau –  BFMTV

 

L’ancien président de la fédération de chasse de Haute-Saône et son ancien directeur ont été condamnés à 1 an de prison ferme pour complicité de destruction et de transport d’espèces protégées.

 

Rappel des faits - (Source LPO)

Les 6 et 7 octobre 2016, sept prévenus comparaissaient dans une affaire de destruction de 252 animaux d’espèces protégées sur un terrain de la fédération de chasse à Noroy-le-Bourg, près de Vesoul.
La fédération de chasse de Haute-Saône avait aménagé ce terrain de 56 hectares pour y favoriser la présence du petit gibier. Et, afin de permettre aux faisans ou aux lapins de proliférer, des pièges avaient été installés pour les espèces dites « nuisibles » comme les renards, martres ou fouines. D’autres prédateurs, quant à eux protégés, étaient aussi capturés et éliminés. Pendant près de trois ans, plusieurs centaines de mammifères et rapaces tels que des Chats forestiers, buses, éperviers… ont ainsi été détruits, tirés, piégés ou empoisonnés.
En condamnant les 2 ex-cadres de la fédération de chasse de Haute-Saône (70) à un an de prison ferme, le tribunal correctionnel de Vesoul est allé bien au-delà des réquisitions du parquet dans cette affaire.
L’ancien président de la fédération de chasse et son ancien directeur ont également été condamnés à 5 000€ d’amende.
Les 8 associations de protection de la nature, qui s’étaient portées partie civile percevront chacune 2 000€ de dommages et intérêts soit 16 000€ dont 15 000 à la charge du seul ex président.
Les condamnés vont très certainement faire appel mais la LPO applaudit cette décision singulière à l’égard de deux cadres d’une Fédération des chasseurs (agréée par ailleurs au titre de la protection de la nature) et espère qu’elle sera exemplaire.

La lettre

de Gérard CHAROLLOIS

Autoroute A69 : une tentative de mise à mort de l'Etat de droit

Le Sénat conservateur, dominé par une droite affligée d’une dérive vers le populisme néofasciste du temps, viole délibérément l’état de droit en adoptant le 16 mai une proposition de loi de «validation» de l’autoroute A69, tronçon de 53 kilomètres prétendant relier TOULOUSE et CASTRES.
Voulu par un complexe financier spéculatif, ce projet n’a pas pour but de faire gagner dix minutes de trajet entre ces deux villes mais uniquement de procurer des fonds.
Ce projet est d’intérêt très privé « de scrupule ».
Le tribunal administratif de Toulouse a contesté son caractère d’utilité publique et a ordonné l’arrêt du chantier au grand dépit des intérêts trop privés à l’origine de cette agression contre nature.
L’état fait appel du jugement, mais les tenants de l’autoroute sont si peu persuadés du bien fondé de leur projet qu’ils doutent du succès de leurs recours.
Alors, ils sollicitent les politiciens et ceux-ci répondent docilement présents pour obéir aux officines financières impliquées.
La loi sénatoriale vise à priver le juge, empêcheur de spéculer au détriment de l’intérêt général, de son pouvoir de dire le droit et de trancher un différend.
Or, cette scélératesse viole toutes les normes juridiques et les principes les plus fondamentaux de la république.

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15 janvier 2025
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