La racine du mal tient à ce que les dirigeants politiques n’émanent plus de l’élite mais du milieu de l’argent, de la spéculation et des affaires, monde vulgaire, snobinard, arrogant, cupide, monde de la vénerie, de l’entre-soi.
Comme je l’ai déjà écrit, le malaise de la société contemporaine ne tient pas à la faillite de l’élite mais à sa disparition.
Les défis du temps dépassent ces très petits hommes addicts de la cupidité vorace.
L’argent, le profit, les affaires les obsèdent et pour eux, toute solution a la forme de leur addiction.
Ainsi, les « énergies renouvelables » ne sont jamais que des occasions de faire de l’argent, toujours au détriment de la Nature.
La mort de la biodiversité, crime de l’homme contre la biosphère, le dérèglement du climat, source non pas de la fin du monde, mais de la fin d’un monde connu, n’intéressent les gouvernants que dans la mesure où cela peut offrir des débouchés pour leurs commettants de la finance.
Les décennies à venir vont apporter une modification du cadre de vie d’une manière dont nombre d’individus ignorent l’ampleur.
Les gouvernants ne sont pas à la hauteur des défis.